Sur France 5, « Echappées belles » à Naples, la Côte amalfitaine et dans les îles éoliennes

Une émission diffusée sur France 5 samedi 21 avril à 20h35 et rediffusé dimanche 22 à 15h00. Présentée par Sophie Jovillard et Jérôme Pitorin.

Pour ceux qui ne reçoivent pas France 5 sur leur téléviseur (ce qui est sans doute le cas pour nos amis de l’étranger), Altritaliani vous propose de voir ou revoir le reportage en ligne en cliquant sur ce lien:

ECHAPPEES BELLES NAPLES

L’émission n’est malheureusement plus disponible!!

Article lié d’Altritaliani : «O sole mio ! Naples en saveurs… bien plus qu’une pâte à pain»,
de Jean-Claude Renard.

NO128437083_840adf7b13_b.jpg

Cette émission d’ « Echappées belles » se décline ainsi:

La ruelle napolitaine

Naples ou le théâtre de la rue. Dans les ruelles napolitaines, c’est la débrouille, entre la mamma qui étend son linge sur des façades baroques et l’épicier d’en face qui lui envoie ses courses avec le panier accroché au mur. Dans ces rues, règne une authentique vie de quartier.

Des palais habités

Naples regorge de palais historiques, dont le San Felice et le palazzo dello Spagnolo, qui sont habités. Le long de ces escaliers, on retrouve tous les visages de la cité. Les familles plébéiennes et la bourgeoisie napolitaine cohabitent. Le portier, la concierge et les habitants nous font découvrir leurs secrets.

Profession : bimbo à la TV

Comment réussir sa carrière de journaliste, actrice, présentatrice ou même de ministre ? Une solution : passer à la TV ! Portrait d’Antonella, inscrite dans une agence de mode, avec l’objectif de passer des castings et devenir « potiche ». Portrait d’un phénomène qui n’existe qu’en Italie.

La folie du loto

Ferveur religieuse et superstitions se mélangent dans cette ville. Le loto tient une place particulière dans la vie des Napolitains: ils ont une passion pour les jeux de hasard. Pour choisir leurs numéros, ils se référent à la Smorfia, le livre des rêves.

Les pâtes de Gragnano

Les pâtes sont nées à Gragnano. Dans l’artère principale, on les faisait sécher à l’air libre. Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui font vivre cette industrie commencée à l’époque des colonies grecques et romaines pour éviter que le blé ne pourrisse.

Vivre sur les îles Eoliennes

L’hiver, ils sont une centaine à y vivre excentrés. Les instituteurs viennent de Sicile, et, quand les ferries ne peuvent pas prendre la mer, les parents volontaires s’organisent pour s’occuper des enfants. L’activité tourne au ralenti, les habitants travaillent entre la pêche et l’entretien des maisons.

Article précédentPiazza Fontana, 43 anni dopo la perdita dell’innocenza
Article suivantLa Carpinone-Sulmona. Il treno dei monti del Sud, tra mito e storia.
Evolena
Michèle Gesbert est née à Genève. Après des études de langues et secrétariat de direction elle s'installe à Paris dans les années '70 et travaille à l'Ambassade de Suisse (culture, presse et communication). Suit une expérience associative auprès d'enfants en difficulté de langage et parole. Plus tard elle attrape le virus de l'Italie, sa langue et sa/ses culture(s). Contrairement au covid c'est un virus bienfaisant qu'elle souhaite partager et transmettre. Membre-fondatrice et présidente d'Altritaliani depuis 2009. Coordinatrice et animatrice du site.